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Marc Vasseur (Journal à quatre mains)

Eric Besson vu par François Morel...

16 Octobre 2009 , Rédigé par Marc Publié dans #Résistance Politique

Rien d'autre à dire que Merci Monsieur Morel...

Dans ce 7/9h d'Inter c'est le seul moment de journalisme... Le traitement de la visite de Gandrange par Sarkozy un monument de publireportage... simplement honteux...



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E
<br /> Ah, François Morel.<br /> Un acteur formidable. Jamais déçu avec lui.<br /> <br /> Jamais déçu non plus avec les sarkos, mais pas pour les mêmes raisons.<br /> <br /> Enfin, tout de même dans les fils sarko, il y a un qui n'a pas mal tourné. Il est berger, en Corse...<br /> <br /> <br />
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G
<br /> oui j'ai entendu ça ce matin ! je l'aime toujours autant ce François Morel<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Puissant, en effet. et du journalisme en vrai.<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Dans l’hebdomadaire Bakchich, mercredi 7 octobre 2009, page 4, Nicolas Beau écrit :<br /> <br /> « L’affaire qui hante les nuits de Sarko.<br /> <br /> Bakchich a consulté les cahiers de Gérard-Philippe Menayas, ancien directeur financier de la DCNI (Direction des Constructions Navales Internationales). Nous en publions des extraits. Pour<br /> l’instant, le Parquet de Paris fait tout pour que ces éléments extrêmement sensibles soient exclus du périmètre de l’information judiciaire.<br /> <br /> Rédigés jusqu’en mars 2008, ces écrits ne constituent que des « allégations non vérifiées », comme le constate une note de la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ), dont Bakchich a pu<br /> prendre connaissance. Reste qu’à l’Elysée, mais aussi chez les socialistes, on suit comme le lait sur le feu l’évolution de ce dossier judiciaire explosif.<br /> <br /> Passionnants à décrypter, les cahiers Menayas comportent de nombreuses initiales : NS pour Nicolas Sarkozy, JPP pour Jean-Paul Perrier, président de Thales International. Des codes apparaissent<br /> également : BACCHUS pour Jean-Marie Boivin, grand manitou des commissions ; DD pour Andrew Wang, l’intermédiaire flamboyant qui reçut près d’un demi milliard de dollars pour le contrat des<br /> frégates.<br /> <br /> 1- Balladur et Guigou mis en cause.<br /> <br /> A propos du contrat des frégates, les cahiers Menayas révèlent que « l’un des principaux bénéficiaires serait Edouard Balladur. L’autre, Elisabeth Guigou, grâce à un système élaboré de prêts<br /> adossés. »<br /> <br /> Toujours d’après les cahiers Menayas, « les masses financières dont Andrew Wang assurait la circulation occulte étaient destinées à la France et, pour une part substantielle, à l’Allemagne. Pour<br /> notre pays, elles devaient revenir au Parti Socialiste, à des membres du Parti Républicain, et à des balladuriens, via Charles Pasqua. »<br /> <br /> Notons qu’une des rares traces de rétro-commission retrouvée par le juge suisse Paul Perraudin concernait Etienne Leandri qui, jusqu’à son décès en 1995, fut le grand argentier de Charles<br /> Pasqua.<br /> <br /> Ailleurs, Gérard Menayas note : « Les rétros JMP / Bravo (nom de code du procès des frégates) ont été rétrocédées à J.Y. Le Drian », ancien maire de Lorient.<br /> <br /> Enfin, « JPP (Jean-Paul Perrier) a utilisé la société Lobbying Transasia Developpement, présidée par Jean-Marie Cambacérès. » Jean-Marie Cambacérès, ancien député socialiste, était un spécialiste<br /> de l’Asie.<br /> <br /> 2- L’Elysée suit le dossier de près.<br /> <br /> « Les autorités luxembourgeoises auraient découvert que NS aurait été intéressé à SW2 (le contrat de ventes de frégates à l’Arabie Saoudite) avec le concours de Nicolas Bazire, voire de Jean-Luc<br /> Lagardère, dont il a fréquenté les haras » note Menayas.<br /> <br /> Le nom de Nicolas Bazire, à l’époque directeur de cabinet d’Edouard Balladur, n’apparaît pas par hasard. Un rapport de la DNIF (Division Nationale des Investigations Financières), daté du 5 mars<br /> 2007, et versé au dossier des juges Hullin et Desset, revenait sur la création de Heine, une des officines luxembourgeoises créées par la DCNI : « Une chronologie fait apparaître que la création de<br /> la société Heine, au deuxième semestre 1994, s’est faite après accord de Nicolas Bazire et du ministre Nicolas Sarkozy », notait le rapport des flics financiers.<br /> <br /> D’après les cahiers Menayas, Nicolas Sarkozy aurait envoyé deux émissaires rencontrer Bacchus (Jean-Marie Boivin), l’homme-clé des commissions des constructions navales. Cette initiative,<br /> pouvons-nous préciser à Bakchich, date de l’époque où Nicolas Sarkozy était ministre de l’Intérieur. L’enquête préliminaire qui devait aboutir à l’ouverture d’une instruction judiciaire était<br /> engagée. Il y avait le feu au lac apparemment.<br /> <br /> Par ailleurs, Bacchus aurait reçu plus tard un courrier à l’en-tête de la présidence de la République, de Claude Guéant, bras droit de Sarkozy, « s’excusant que le numéro 1 n’ait pas le temps de<br /> recevoir Bacchus », mais s’engageant « sur un RV avec Hervé Morin », ministre de la Défense.<br /> <br /> 3- Un procureur de Paris prudent.<br /> <br /> Dans un courrier interne daté du 22 novembre 2007 et que le site Bakchich Info avait publié, le procureur Jean-Claude Marin avait effectivement averti sa hiérarchie qu’il allait « circonscrire »<br /> l’enquête aux éléments les moins sensibles…<br /> <br /> « JC Marin, petit frère, pilote l’instruction, dont il a sérieusement réduit le périmètre. Il y a malgré cela affecté deux magistrats de premier plan. C’est un opportuniste, balladurien reconverti<br /> à NS », note enfin Gérard Menayas.<br /> <br /> Nicolas Beau.<br /> <br /> <br />
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M
<br /> test<br /> <br /> <br />
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