Philippe de Villiers recycle un ancien du GUD...
Si certains doutaient encore que Philippe de Villiiers est bel et bien un petit facho sous un costume emprunt de respectabilité, le recrutement d'un certain Benoît Fleury (ancien dirigeant du GUD) au conseil général de Vendée montre une nouvelle fois le vrai visage de cet homme.
Même certains responsables du parti radical valoisien sont effrayés par cette nomination... c'est dire...
On attend encore les réactions de Jean-Marie Bockel et Eric Besson... ben voui, ces deux sémillants "hommes de gauche" vont siéger dans la même instance que Villiers...
Enfin, ce n'est certainement pas Nicolas Sarkozy qui pourra lui jeter la pierre en ayant dragué sans retenue les électeurs les plus nauséabonds du parti frontiste.
Ps : suite à une menace de poursuite de Benoit Fleury, j'ai modifié, le titre initial. et rajoute ce correctif.
Benoit Fleury a dénoncé son passé d'étudiant violent et membre d'une organisation d'extrême droite, affirmant qu'il s'agissait « d’engagements qui [...] relèvent définitivement du passé[8] » et d'« erreurs de jeunesse[13] ». Il a aussi estimé que son « parcours personnel doit constituer, pour les défenseurs des valeurs républicaines et humanistes, un signe d'espoir plutôt qu'un repoussoir : il est la preuve vivante que l'engagement dans le travail de recherche et d'enseignement libère des aveuglements et des préjugés[13]. »
Même certains responsables du parti radical valoisien sont effrayés par cette nomination... c'est dire...
On attend encore les réactions de Jean-Marie Bockel et Eric Besson... ben voui, ces deux sémillants "hommes de gauche" vont siéger dans la même instance que Villiers...
Enfin, ce n'est certainement pas Nicolas Sarkozy qui pourra lui jeter la pierre en ayant dragué sans retenue les électeurs les plus nauséabonds du parti frontiste.
Ps : suite à une menace de poursuite de Benoit Fleury, j'ai modifié, le titre initial. et rajoute ce correctif.
Benoit Fleury a dénoncé son passé d'étudiant violent et membre d'une organisation d'extrême droite, affirmant qu'il s'agissait « d’engagements qui [...] relèvent définitivement du passé[8] » et d'« erreurs de jeunesse[13] ». Il a aussi estimé que son « parcours personnel doit constituer, pour les défenseurs des valeurs républicaines et humanistes, un signe d'espoir plutôt qu'un repoussoir : il est la preuve vivante que l'engagement dans le travail de recherche et d'enseignement libère des aveuglements et des préjugés[13]. »
Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
B
D
M
M
M