Petits arrangements entre amis ?
C’est promis, c'est la dernière fois que je reviens sur la question de ma candidature au poste de 1er fédéral.
Donc, hier, Gilles Pargneaux m’a fait l’honneur de m’appeler. Que retirer de cette conversation. Quelques éléments intéressants.
Tout d’abord, Gilles Pargneaux entend bien se déresponsabiliser sur cette décision des fameux trois ans. Il m’a bien confirmé que c’est avec l’accord des autres motions qu’il a agit en dans ce sens. Donc je répose la question, sachant que j’ai discuté avec différents représentants des motions (sauf la D…) et que je n’ai pas eu le même son de cloche : QUI MENT DANS CETTE FEDERATION ???. A vrai dire, j’aimerais assez que la presse régionale s’intéresse à cela mais c’est probablement trop demander.
Deuxième élément, au cas où le premier argument ne suffirait pas… je suis un mauvais payeur… dans le sens, où je ne me suis pas acquitté du montant minimal… j’ai juste payé ce que ma section me demandait, ni plus, ni moins. En poussant la logique on peut se demander si le bon militant n’est pas fonction du montant de sa dîme.
Vous me direz, je peux poser un recours devant la commission des conflits… je dois vous avouer que seul, je n’en ai pas spécialement envie. D’autant que juridiquement, c’est perdu d’avance surtout si Aubry devient notre prochaine secrétaire national… En effet comme pourrait elle aller déjuger des décisions qu’elle cautionne au niveau fédéral.
Enfin, depuis le début j’ai placé ma candidature sur le terrain politique or le déplacer sur le terrain juridique ne me paraît pas opportun et quelque peu suicidaire. Si je le faisais c’est uniquement au nom d’une certaine morale politique (carté depuis 93, exclu en 2002 en dehors de toutes règles statutaires, empêché de reprendre ma carte…).
Alors à quoi bon mener un tel combat alors que Bertrand Delanoë nous a brillamment confirmé hier que la morale politique avait définitivement déserté le Parti Socialiste et une bonne partie de ses dirigeants.
Le PS peut il encore tomber plus bas… très certainement mais les pages restent encore à écrire. Déjà, on commencera avec l’élection stalinienne d’un 1er Fédéral…